«I wan’t to free women from tyranny of hemline» (Vanity Fair, février 1971). «Ce que je veux: choquer les gens, les forcer à réfléchir» (Vogue, mars 1971). «Comme Chanel faisait ses tailleurs pour elle, je fais ma collection masculine pour moi» (Le Figaro, Hélène de Turckheim, 6 avril 1971). «Yves Saint Laurent vient d’annoncer qu’il renonçait à la haute couture pour le prêt-à-porter» (Le Monde, Nathalie Mont-Servan, 11 août 1971). «L’affaire du P-DG tout nu» («Cinq colonnes à la une», 1er décembre 1971).

1972 — «Exhibitionnisme et voyeurisme font tomber un nouveau tabou» (Le Figaro, Bernard Pivot. 30 janvier 1972). «Saint Laurent, la collection que seules ses clientes ont pu voir» (Paris-Match, Gérald Asaria, 26 février 1972). «Les paradis de Saint Laurent pour la gloire de Zizi» (Elle, Fanny Deschamps, 28 février 1972). «De Zizi Jeanmaire à Alfred de Musset» (Les Lettres françaises, 1er mars 1972). «Le musichall, aujourd’hui» (Les Lettres françaises, Edmonde Charles-Roux, 8 mars 1972). «Zizi au Casino de Paris, des jambes qui ont de la tête» (France-Soir, Pierre Marcabru, 23 février 1972). «Con i costumidi Yves Saint Laurent, Jorge Lago, nuovo Nurejev» (Vogue Italie, juin 1972).

1973 — «Yves Saint Laurent parle de la mode, de sa mode, de la vie» (20 ans, Sylvie Charier, 20 avril 1973). «Les modes passent. Le style est éternel… Dior m’a appris mon métier, grâce à Chanel, j’ai trouvé mon style» (Vogue France, mars 1973). «YSL: a 50 million dollars label» (WWD, 26 septembre 1973).

1974 — «Saint Laurent réinvente les années 30» (Elle, 18 février 1974, Claude Berthod). «Anny Duperey dans L’Affaire Stavisky. C’est aussi l’affaire Saint Laurent» (Elle, 25 mars 1974). «Not just an ordinary happening» (New York Post, Eugenia Sheppard, 28 juillet 1974). «I sell happiness, not 1500 dollars dresses» (People, 9 septembre 1974, Rudolph Chelminski). «The King of couture» (Newsweek, Lynn Young, 18 novembre 1974).